C'est Notre Petit Secret

Épisode 5

État prédateur

L’Aide Sociale à l’Enfance, l’ASE, anciennement la DDASS, gère chaque année le placement de plus 300 000 enfants. Pour eux, les départements dépensent chaque année 9,9 milliards d’Euros. Chaque enfant placé est donc une source de revenus pour le département.

Dans ce volet, nous suivrons, entre autre, le parcours atypique d’un père de famille, Zya Hedari d’origine iranienne, fonctionnaire du Ministère de la Culture et à qui l’ASE a retiré ses 2 enfants, contre l’avis même du Juge des Enfants. La mère, elle, se serait mariée par intérêt et dans l’objectif d’obtenir plus facilement une carte de séjour. Quatre ans plus tard, confronté à des crises d’hystéries répétées de sa femme, Mr Hédari demande le divorce. Il renonce à 2 reprises grâce à un changement radical de comportement. La raison est simple. Un divorce trop tôt empêcherait la naturalisation de la jeune maman. La troisième fois sera la bonne. Pour son divorce, la jeune maman choisit l’avocat de l’ASE. La jeune femme va alors porter plainte contre son ex mari pour viol sur elle-même et agression sur l’un de ses enfants. Ses deux enfants sont alors placés le temps de l’enquête. Un an plus tard, le fonctionnaire est blanchi de ces 2 accusations et le juge des enfants ordonne aux enfants de revenir chez son père. L’ASE va outre passer cette décision et empêcher à Mr Hédari de revoir ses enfants.

Cela fait aujourd’hui 10 ans que Mr Hédari n’a pas revu des 2 enfants.
Depuis, 6 juges d’instructions travaillent pour lui grâce à des plaintes avec constitution de partie civile contre l’ASE, 4 juges des enfants, 5 juges des affaires familiales, et contre les soustraitants de l’ASE.

Dans ce même volet, nous suivrons également le parcours d’une mère de famille et son combat pour retrouver son fils, placé abusivement à cause de faux en écritures et pas seulement…